Les 5 joueurs les plus détestés de l'histoire du Canadien
Voyez les détails !
L'histoire est riche à Montréal lorsqu'on parle de hockey. Que l'on pense aux 24 conquêtes de la Coupe Stanley, à Maurice richard, Guy Lafleur, Jean Béliveau, Patrik Roy, Ken Dryden, Larry Robinson etc ...
Cependant, à travers les années, certains joueurs ont retenu l'attention pour de mauvaises raisons.
Que ce soit par leurs performances sur la glace ou des histoires hors glace voici un top 5 des joueurs les plus critiqués dans l'histoire du Canadien
1 - Patrice Brisebois
Brisebois était et est probablement encore, le roi des hués à Montréal. Aucun joueur n'a subi le type d'abus dont Brisebois a fait l'objet lors de son premier passage chez les Canadiens. Les fans l'ont surnommé "Breeze By" en raison de ses lacunes défensives et il avait probablement l'impression de jouer pour l'autre équipe en raison de l'avalanche de huées qui lui tombait dessus depuis les gradins sur une base régulière. Brisebois, à son crédit, a eu le courage de retourner avec le CH pour un deuxième passage, et bien qu'il ait été mieux traité que la première fois, on lui a rappelé ses "jours de gloire" plus d'une fois.
2 - Scott Gomez
Gomez a démarré sa carrière à Montréal avec 2 prises contre lui. Premièrement, il allait devoir jouer à la hauteur du contrat qu'il avait signé à New-York, soit 7 ans avec un impact salarial de 7.3 millions par saison. Ensuite, il allait toujours se faire rappeler le joueur qui avait été sacrifié pour l'obtenir, soit Ryan McDonagh. Si Gomez a joué un rôle clé pour attirer de grands agents libres à l'été 2009 (Cammalleri et Gionta), on se souviendra surtout de son passage à Montréal pour l'ire qu'il a suscitée chez les fans et pour son interminable période sans but qui s'est étendue sur deux saisons.
3 - Doug Wickenheiser
Doug Wickenheiser était condamné dès le départ. Il est déjà difficile d'être le premier choix au repêchage et d'arriver dans une ville comme Montréal dans les années qui ont suivi trois dynasties distinctes au cours de trois décennies différentes. On s'attendait à ce que Wickenheiser reprenne là où ceux qui l'avaient précédé s'étaient arrêtés, mais le joueur de centre n'a pas été capable de remplir les grandes chaussures de Maurice Richard, Jean Beliveau, Guy Lafleur et d'innombrables autres joueurs de l'époque.
4 - André Racicot
Surnommé "Red Light Racicot" pour son penchant à laisser la lumière s'allumer derrière lui, Racicot a fait quelque chose que peu de gens ont pu accomplir : mettre en colère les partisans d'une équipe tout en passant la majeure partie de sa carrière comme remplaçant. Racicot a eu la vie difficile pendant la majeure partie de son séjour à Montréal, jouant dans l'ombre du légendaire Patrick Roy tout en essayant d'apaiser des partisans exigeants chaque fois qu'il jouait.
5 - David Desharnais
Desharnais a rendu de précieux services au Canadien, surtout à une époque où l'équipe se cherchait désespérément un joueur de centre #1. Cependant, pendant une bonne partie de son séjour à Montréal, il était le souffre-douleur des partisans. Le fait que le maire de Montréal, Denis Coderre, ait tweeté que le Canadien devrait envoyer Desharnais à Hamiton sur un vol aller simple a ajouté de l'huile sur le feu et alors que beaucoup défendaient Desharnais, la majorité de la ville s'est rangée du côté du nouveau maire.