HabsolumentFan
“La première personne à m'avoir traité de rat est Sidney Crosby”
 

“La première personne à m'avoir traité de rat est Sidney Crosby”

Entretien super intéressant

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L'attaquant du Canadien de Montréal Brendan Gallagher a livré une entrevue super intéressante avec Colby Armstrong de Sportsnet, un ancien coéquipier, et le résultat est vraiment captivant. 

On a l'impression que ce sont deux amis qui discutent au bar du coin et Gally a révélé des infos assez intéressantes.

Gallagher se prononce notamment sur le fait d'être intense sur la patinoire et parfois d'être un peu le mal aimé pour ses adversaires.

Armstrong revient également sur le fameux but qui a circulé sur le net, vidéo dans lequel on voit un tout jeune Brendan Gallagher passionné, impliqué, intense, dans les culottes du gardien et il se fâche même après l'arbitre comme lui seul sait le faire. 

Il venait de se faire refuser un but :

Le #11 du tricolore mentionne très bien se rappeler de ce but parce que son père est allé le voir ensuite entre la deuxième et la troisième période pour lui dire que s'il n'était pas assez intelligent pour se ressaisir et arrêter de bouder (son but refusé l'avait sorti de son match), il n'allait plus jamais rejouer au hockey. 

Le jeune Gallagher est donc revenu plus fort en troisième avec une attitude différente pour ainsi bien finir ce fameux match en 2002.

Ils abordent également la réalité actuelle en 2021 du fougueux attaquant du CH :

Armstrong :

"Penses-tu que les autres joueurs de la LNH te détestent"

Gallagher :

"Je sais qu'ils me détestent, j'espère juste qu'ils me respectent et qu'ils comprennent que c'est ma façon de jouer, mais c'est normal je pense. Sais-tu qui est la première personne ? Je n'avais jamais été traité de rat dans ma vie, la première personne à m'avoir traité de rat est Sidney Crosby. Après le match, j'étais comme come on, pourquoi ça devait être Sid."

Brendan Gallagher discute également de la réalité de s'entraîner avec son père, qui est très exigeant et qui est tellement heureux quand ses entraînements ont pour effet de rendre les athlètes malades et à bout :

"Quand je vomis, il est fier, je n'exagère pas. Il sent qu'il a fait sa job parfaitement. Mais, je suis heureux de l'avoir près de moi et il sait exactement comment me pousser à fond pour que je puisse être le plus en forme possible."

À voir au complet ici :


Source: Sportsnet