Julien BriseBois revient sur la décision de ne pas sélectionner Nick Suzuki pour l'équipe canadienne

La Coupe des quatre nations qui aura lieu en février, représente enfin l'occasion pour les meilleurs joueurs au monde, de représenter leur pays. Pour la première fois depuis la Coupe du monde en 2016.

Le processus de sélection a été à la fois un privilège et un dilemme pour la direction, qui dispose d'un grand nombre de joueurs compétents à travers à LNH. Équilibrant l'expérience et la jeunesse, l'équipe a dû faire des choix difficiles pour réduire l'effectif, sachant que de nombreux joueurs méritants seraient finalement laissés de côté.

Les décisions ont été compliquées par la nécessité de créer une unité cohérente, en tenant compte non seulement du talent individuel, mais aussi de l'alchimie de l'équipe et de la capacité d'adaptation à différents styles de jeu. Si la liste finale reflète la volonté du Canada d'aligner l'équipe la plus forte possible, les exclusions soulignent la profondeur du talent au pays.

Nick Suzuki a certainement été dans les discussions jusqu'à la fin, lui qui s'est imposé comme l'un des meilleurs joueur de centre two-way dans les dernières années.

Certains croient qu'il aurait dû avoir sa place au lieu d'Anthony Cirelli ou Seth Jarvis.

Si on demande à Julien BriseBois qui fait partie de la direction de l'équipe canadienne, il ne fait aucun doute que Suzuki est haut dans son estime et il ne ferme pas la porte à ce qu'il fasse l'équipe si un ou des joueurs se blessent d'ici là.

Voici ce qu'il avait à dire à propos de la décision de ne pas le sélectionner dans l'équipe annoncé au début du mois.

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