Voici pourquoi c'est le temps d'encourager Kirby Dach plus que jamais

Combien de fois dans nos vies avons-nous traversé des périodes difficiles?

Ces moments où, malgré tous nos efforts pour remonter la pente, les résultats ne suivent pas. On se relève, on persévère, mais les obstacles semblent s’acharner. Ces épisodes peuvent faire vaciller n'importe qui.

C’est exactement ce que traverse Kirby Dach en ce moment. Et comme si ça ne suffisait pas, il doit composer avec des critiques démesurées, parfois même des menaces de mort.

Oui, la critique fait partie du sport, mais il y a une énorme différence entre analyser une performance et s’acharner sur un homme. À ce stade, ce n’est plus constructif. Ce n’est plus juste. Ce n’est plus humain.

Et si, au lieu de l’enfoncer, on choisissait de lui tendre la main ? Parce qu’au fond, c’est peut-être exactement ce dont il a besoin : un peu d’encouragement et l’énergie que nous pouvons lui transmettre. Nous avons tous eu un ami qui nous a soutenus dans nos moments les plus sombres, alors on connaît la puissance d’un tel geste.

C’est là qu’intervient Alexander Rougas, de HFTV, qui a lancé une initiative inspirante.

Ce mardi, alors que les Canadiens accueilleront les Islanders au Centre Bell, il invite les partisans à poser un geste de soutien.

Lorsque Kirby Dach mettra le pied sur la glace, levons-nous. Encourageons-le. Applaudissons. Montrons-lui que cette ville, ce Centre Bell, n’est pas un endroit hostile, mais bien un refuge. Une maison où il peut retrouver la force d’avancer.

Si vous ne pouvez pas applaudir le joueur, c’est votre choix, et personne ne peut vous y obliger. Mais on peut toujours soutenir l’homme, l’humain qui affronte l’un des plus grands défis de sa vie : revenir d’une blessure qui a mis fin à tant de carrières dans le monde du sport.

Si vous doutez de l’impact d’un geste de soutien, pensez à l’histoire de Trea Turner avec les Phillies.

Au début de 2023, il était critiqué pour ses mauvaises performances, jusqu’à ce qu’un super fan, Jon McCann, encourage les partisans à l’ovationner au lieu de le huer.