Les joueurs de la LNH sont constamment scrutés par les fans et les médias, une réalité qui va de pair avec le fait de jouer au plus haut niveau du hockey.
Chaque performance, bonne ou mauvaise, est analysée en détail et les critiques peuvent rapidement faire boule de neige, en particulier dans les marchés passionnés de hockey.
Pour les joueurs, cette pression peut devenir une distraction importante s'ils s'y attardent trop. Les commentaires négatifs ou les doutes peuvent s'insinuer dans leur esprit et affecter leur confiance et leur concentration sur la glace. Il est essentiel de conserver une bonne résistance mentale et de garder les pieds sur terre pour faire taire les bruits et se concentrer sur ce qui compte vraiment, c'est-à-dire aider son équipe à réussir.
Juraj Slafkovsky pourrait très bien se laisser tenter par l'option de trop écouter ce que les gens ont à dire à propos de lui, surtout en ce moment alors qu'il n'a que 2 buts en 27 matchs, mais il n'en est rien.
Questionné par le journaliste Anthony Martineau sur son rapport face aux critiques médiatiques, le jeune homme de 20 ans a répliqué sans hésiter :
Ce que vous dites? Non, ça ne m’importe pas.
- Juraj Slafkovsky
En fin de compte, pour s'épanouir sous les feux de la rampe, il faut trouver un équilibre entre être conscient du monde extérieur et ne pas le laisser définir son jeu et Slaf semble l'avoir très bien compris.
Il est de retour sur le premier trio avec Nick Suzuki et Cole Caufield depuis peu et il est très heureux de les retrouver.
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