Chris Chelios raconte une histoire hilarante de son temps à Montréal
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Repêché par les Canadiens de Montréal en 1981, Chris Chelios a connu une longue carrière dans la LNH, jouant pendant 26 saisons pour les Canadiens ainsi que pour les Blackhawks de Chicago et les Red Wings de Detroit, des marchés du hockey dans lesquels il est devenu une figure bien-aimée.
De la finale de la Coupe Stanley en 1986 à l'équipe des Jeux olympiques d'hiver de 2006, il raconte dans sa biographie 'Chris Chelios : Made in America' , plusieurs histoire fascinantes sur sa carrière sur la glace oui mais aussi à l'extérieur et c'est justement l'une de ce histoire qui nous intéressent aujourd'hui.
Il y raconte cette histoire qui s'est déroulée lors de ses années avec le Canadien.
Jacques Lemaire et l'entraîneur adjoint Jacques Laperriere ont vérifié le respect du couvre-feu lors d'un voyage à Vancouver, en appelant toutes nos chambres. Huit d'entre nous n'ont pas répondu. Guy Carbonneau et Chris "Knuckles" Nilan en faisaient partie. Je partageais ma chambre avec le jeune défenseur Petr Svoboda, et nous étions également sortis en ville.
La rumeur a circulé que nous serions tous mis sur le banc lors du prochain match, et Petr était nerveux. Il a dit que sa petite amie allait être furieuse contre lui lorsqu'elle apprendrait qu'il avait été mis sur le banc pour avoir violé le couvre-feu. Elle allait vouloir savoir où il était.
Nous avons délibérément évité les entraîneurs ce matin-là, puis Petr et moi avons convaincu les employés de la réception de nous installer clandestinement dans une autre chambre. Une fois notre alibi mis au point, nous sommes allés voir Laperriere pour lui demander ce qui se passait. Il nous a dit qu'il avait personnellement composé le numéro de notre chambre et qu'il n'y avait pas de réponse.- Chris Chelios
Nous avons insisté avec véhémence sur le fait que nous étions dans notre chambre à temps pour la vérification des lits. Finalement, je lui ai demandé quelle chambre il avait appelée et il m'a répondu. "C'est là le problème", ai-je dit. "Ce n'est pas notre numéro de chambre. Nous lui avons montré nos clés de chambre et il a accepté notre explication. Nous avons joué le match suivant