Yanick Lévesque raconte La fois où Marc-André Fleury l'a niaisé à Tampa
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Jeudi dernier, Marc-André Fleury a disputé son dernier match à Montréal, une soirée empreinte d'émotion pour lui et pour tous ceux qui ont suivi sa brillante carrière.
Ce moment marquait la fin d'une époque pour le gardien légendaire, et la foule au Centre Bell lui a réservé un accueil digne de son immense impact sur le hockey.
En plus de sa carrière exceptionnelle, Fleury est également reconnu pour son sens de l'humour dévastateur. Il est, sans aucun doute, l'un des plus grands farceurs de la LNH.
Ses coéquipiers ne cessent de témoigner de ses tours mémorables, que ce soit dans les vestiaires ou à l'hôtel, où il trouve toujours des moyens de faire rire tout le monde. Toujours souriant et prêt à faire une blague, Fleury a su allier sérieux sur la glace et légèreté en dehors, ce qui a fait de lui une figure encore plus appréciée des joueurs et des fans.
Sur les ondes de BPM Sports, Yanick Lévesque a raconté une histoire qui remonte à l'époque où Fleury jouait pour les Penguins.
Il m'en a joué à quelques reprises. On est à Tampa en Floride, André et moi, et les Penguins viennent jouer à Tampa.
On s'organise pour aller souper avec les boys et tout ça. Et dans la soirée, on organise une entrevue, mais là Marc-André me dit « Je veux pas aller dans un resto et tout ça, on va faire ça à l'hôtel. »
On organise ça, on fait l'entrevue, tout est beau. Il dit à André, « Hey, il faut que j'aille en bas. » Il invente une histoire, je sais pas trop. Fait que finalement, il part, on lui donne la clé de la chambre, il part, il revient. Il est allé, en fait, dans la chambre de notre producteur, secrètement.
Il est allé mettre de la sauce Tabasco sur sa brosse à dents. Attends, c'est pas fini, là. Il est allé à la réception en bas. À l'époque, dans les hôtels, c'était quand même à la mode de donner un wake-up call pour se faire réveiller.
2h45 du matin, le téléphone sonne dans ma chambre. Wake-up call. Je raccroche. Aux 45 minutes jusqu'à 6h du matin. J'ai pas dormi de la nuit.
- Yanick Lévesque
Même les animateurs ne sont pas à l'abris des pranks de Flower !