Oliver Ekman-Larsson nomme son fils en l'honneur de son ancienne équipe
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Quelques jours après avoir remporté la Coupe Stanley avec les Panthers de la Floride, le défenseur suédois Oliver Ekman-Larsson s'est entendu avec les Maple Leafs de Toronto sur un contrat de quatre ans qui lui rapportera 3,5 millions de dollars par saison.
Lorsqu'il s'est fait demandé pourquoi Toronto, il a répondu tout simplement qui ressentait que c'était l'endroit qui faisait le plus de sens pour lui et sa famille et qu'il pense pouvoir aider cette équipe à se rendre plus loin.
La femme du défenseur de 33 ans a accouché d'un petit garçon il y a quelques mois, c'est donc une très grosse année pour lui en terme d'émotions fortes.
Il est né le 8 avril. Il s'appelle Leo. C'est OEL à l'envers. On ne se prend pas la tête, vous savez ? Voulez-vous connaître son deuxième prénom ?
- Oliver Ekman-Larsson
C'est à ce moment-là qu'Ekman-Larsson a révélé qu'il avait choisi le deuxième prénom de son fils en fonction d'un endroit très spécial de sa vie.
''Phoenix'' C'est Leo Phoenix Ekman-Larsson.
Un beau clin d'oeil à l'équipe qui lui a donné sa première chance dans la LNH.
Voici ce qu'il avait à dire sur ses jours en Arizona avec les Coyotes :
Je me suis tellement investi dans le hockey en Arizona et je voulais vraiment que ce soit un endroit où nous aurions une chance de gagner. Je croyais vraiment au marché et à l'organisation, alors c'était difficile. C'était chez moi et c'est tout ce que je connaissais à ce moment-là. C'était difficile de partir, mais en tant que jeune joueur, on apprend que tout est possible. Vous voyez vos propres coéquipiers être échangés. Je me souviens de ma première année en Arizona, lorsque j'ai été envoyé en AHL, j'étais dévasté. Je me souviens d'avoir dit au revoir à tous les gars et je crois que j'ai pleuré à un moment donné en disant au revoir à Doaner et à Ray Whitney.
- Oliver Ekman-Larsson
Avec le recul, je pense que cela a fait de moi un meilleur joueur et que le fait d'avoir connu des moments difficiles et de bons moments en Arizona m'a aidé à apprécier le fait d'être en NHL et à gérer les moments difficiles lorsqu'ils se présenteront à nouveau.
Encore une fois, je voulais que ça marche en Arizona, mais ce sont des choses qui arrivent. Nous avons eu un nouveau directeur général et Bill [Armstrong] avait son propre calendrier et la façon dont il voulait construire l'équipe. Je n'ai jamais voulu me mettre en travers de quelque chose qui n'était pas censé se produire. Vous voulez ressentir l'amour et vous voulez qu'ils vous veulent dans l'équipe. J'ai eu l'impression qu'il était temps d'approuver son approche, alors je lui ai souhaité bonne chance et je suis passé à autre chose.