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Doug Armstrong ne se sent aucunement mal d'avoir ''volé'' deux jeunes joueurs aux Oilers
 

Doug Armstrong ne se sent aucunement mal d'avoir ''volé'' deux jeunes joueurs aux Oilers

Voyez les détails !

Samuel Doiron

Doug Armstrong, directeur général des Blues de St. Louis, a secoué la LNH dans les derniers jours en orchestrant deux offres hostiles ambitieuses pour s'emparer de Dylan Holloway et Philip Broberg, deux jeunes espoirs des Oilers d'Edmonton. Ces offres, rarement vues dans le hockey moderne, démontraient la volonté d'Armstrong d'investir dans la jeunesse pour renforcer son équipe à long terme.

Holloway, un attaquant prometteur avec une combinaison de vitesse et de physique, et Broberg, un défenseur suédois reconnu pour son excellent coup de patin et sa vision du jeu, étaient considérés comme des éléments clés du futur des Oilers. Cependant, en raison de contraintes salariales et d'autres priorités, Edmonton a pris la décision difficile de ne pas égaler les offres de St. Louis et ce même après avoir transigé Cody Ceci à San Jose dans les derniers jours.

Cela a permis aux Blues de récupérer deux joueurs à haut potentiel, contre un choix de 2e ronde et un autre de 3e ronde. Les deux joueurs acquis sont d'anciens choix de première ronde. Broberg, 8e total en 2019 et Holloway, 14e total en 2020.

Doug Armstrong n'a absolument aucun remort d'avoir utiliser cet outil controversé pour acquérir deux jeunes joueurs. Au contraire, il est fier de son coup et c'est 100% son droit !

Voici ce qu'il avait à dire à Lou Korac de NHL.com :

C'est un outil que tout le monde utilise et devrait utiliser. Je crois qu'on a dit que je n'aurais pas fait ça à Kenny Holland. C'est la chose la plus éloignée de la vérité.

Honnêtement, je le ferais à ma mère si elle dirigeait les Oilers. Mon travail consiste à prendre soin des fans et de l'organisation des Blues de St Louis. Nous avons vu l'occasion de le faire.

S'il y a un code entre les DG pour ne pas faire d'offres hostiles, personne ne m'a envoyé l'info par courriel.

Il est possible que nous ayons surpayé ces gars, si on peut dire, mais ce n'était pas difficile pour nous parce que nous avons de l'espace dans le plafond.

Ce code dont j'ai entendu parler n'est pas vrai. Les managers font ce qu'ils ont à faire pour leurs franchises. S'ils ne le font pas, ils ne devraient pas faire leur travail.

- Doug Armstrong

Voila c'est dit !

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